Gerrard Piqué avoue : “C’est la meilleure prestation du Barça sous Guardiola”

Gerard Piqué a vécu des moments fantastiques au sein de l’équipe première du FC Barcelone, mais le plus glorieux d’entre eux a été, sans aucun doute, sous les ordres de Pep Guardiola. À cette époque-là, la sensation était celle d’une supériorité totale. Quand ils foulaient le terrain, ils croyaient sincèrement qu’il était impossible d’être surpassés par l’adversaire.

La meilleure performance collective de ces années de gloire ? Gérard Piqué pense que c’était la finale de l’UEFA Champions League 2011 contre le Manchester United de Sir Alex Ferguson au Stade de Wembley.

En raison du contexte (le match le plus important au niveau des clubs), de l’adversaire (un géant dirigé par un entraîneur légendaire), du lieu (la Cathédrale du Football) et de la manière dont ils ont dominé les Red Devils, le champion du monde estime que c’était le sommet de sa période de gloire.

« La finale de la Ligue des champions à Londres, à Wembley, contre vous (Manchester United) a été le meilleur match que nous ayons joué », a déclaré l’actuel président de la Kings League lors d’une discussion avec Rio Ferdinand.

Piqué: "The 2011 UCL final? I think it was the best game I played with Barcelona. Winning the Champions League at Wembley, against Manchester United. We knew the importance of the match and we were much better than them. It was a perfect match." pic.twitter.com/luC4rHWFh3

— Barça Universal (@BarcaUniversal) March 25, 2022

Ferdinand a appuyé la version de Piqué en assurant qu’il ne s’était jamais senti aussi inférieur que contre ce Barça-là : « C’est le seul match de toute ma vie où, à la fin, j’ai dit à Giggs et Scholes : ‘C’était honteux’. Vous étiez si bons. Ce qui a enlevé mon amertume, c’est que nous avons affronté la meilleure équipe contre laquelle j’ai joué et je pense que c’est la meilleure équipe que nous ayons jamais vue ».

Tout le FC Barcelone fonctionnait comme une horloge, mais selon Ferdinand, les talents imbattables étaient Lionel Messi, Andrés Iniesta et Xavi. Ils n’ont jamais su comment les contrôler, ou du moins, réduire leur influence.