L’icône du FC Barcelone, Dani Alves, a récemment été placé en détention dans le cadre d’une présumée agression sexuelle qui aurait eu lieu le 30 décembre 2020. Aujourd’hui, selon les rapports, la police catalane a trompé Alves et son avocat pour obtenir son retour volontaire dans le pays pour le témoignage.
En effet, d’après Marca relayé par IB Times, la police barcelonaise caché la gravité de la situation et la force des preuves et des témoignages, ce qui aurait mis Dani Alves à l’aise et l’aurait incité à se rendre de son plein gré. Le vendredi 19 janvier, Dani Alves a été traduit devant un tribunal de Barcelone, qui a ordonné son placement en prison sans caution. La police avait rassemblé suffisamment de preuves pour convaincre le juge de détenir le footballeur jusqu’à ce qu’un verdict final soit rendu. Elle a notamment commencé à rassembler des preuves et à recueillir des déclarations de témoins dans la nuit du 30 décembre, lorsque l’agression aurait eu lieu.
Les déclarations de la victime et celles des témoins n’avaient apparemment aucune divergence et étaient claires et cohérentes. L’incident a été signalé dans la boîte de nuit Sutton à Barcelone, où Alves et un ami mexicain auraient invité la victime de 23 ans et ses compagnons à une table VIP. Selon la victime, Alves a été excessivement physique avec elle et les autres avant de l’entraîner vers les toilettes, où il l’aurait forcée. La version d’Alves des événements de cette nuit-là serait plus incohérente.
Par ailleurs, Alves a d’abord reconnu qu’il se trouvait dans la boîte de nuit Sutton à Barcelone, mais a nié connaître la femme. Il a ensuite reconnu qu’il l’avait rencontrée, mais a insisté sur le fait qu’il ne s’était rien passé entre eux. Par la suite, il a affirmé qu’elle l’avait agressé, mais a modifié sa déclaration pour dire qu’ils avaient eu une activité consensuelle. Une chose est sûre, le latéral brésilien est dans de sales draps.