À quelques jours du démarrage du Mondial 2022 au Qatar, la FIFA a pris une énorme décision à l’endroit de toutes les sélections qui prendront part à la compétition.
En effet, selon Mundo Deportivo, afin de pouvoir détecter les problèmes cardiaques ou les facteurs de risque pouvant entraîner un arrêt cardio-respiratoire pendant les matchs de la phase finale, ainsi que pour protéger la santé des joueurs, les fédérations participant à la prochaine Coupe du Monde au Qatar doivent garantir et confirmer à la FIFA que leurs joueurs ont subi un examen médical avant le début de la phase finale. Il s’agit d’une condition préalable avant le coup d’envoi de la Coupe du monde.
Par ailleurs, la FIFA elle-même fournira aux fédérations participantes le formulaire d’évaluation correspondant, qu’elles devront communiquer par le biais du formulaire qui a été envoyé et où elles essaieront de recueillir toutes les variables possibles afin d’avoir une évaluation médicale détaillée.
D’autre part, comme l’instance faîtière du football mondial l’a communiqué aux 32 sélections participantes au Mondial 2022, le règlement du tournoi détaille la manière d’agir si un cas de commotion cérébrale se produit pendant un match. En effet, si un joueur est suspecté d’avoir subi une commotion cérébrale pendant un match, le médecin de l’équipe doit l’examiner conformément aux protocoles définis dans le Manuel de médecine d’urgence dans le football de la FIFA.
Il semblerait que la FIFA est décidée à éviter le drame qui a failli arriver à Christian Eriksen lors du dernier championnat d’Europe.