Les conflits incessants de Vinicius Junior ont fait perdre patience. Les supporters et Carlo Ancelotti sont de plus en plus fatigués des problèmes de l’international brésilien sur le terrain, qui a été impliqué dans un nombre incroyable de scandales et de bagarres.
À chaque match, il est impliqué dans une dispute, ce qui est un handicap pour le Real Madrid, car il joue avec un joueur de moins et il est plus attentif aux disputes avec les arbitres et les adversaires qu’au jeu lui-même.
Cela s’est reflété dans ses performances, et il est loin d’être à son meilleur niveau. Florentino Pérez lui a demandé de changer d’attitude et de se concentrer uniquement et exclusivement sur ce qui compte vraiment, c’est-à-dire la victoire. Mais il n’apprend pas, ce qui a conduit trois de ses coéquipiers à prendre position contre lui. Cela s’est vu lors du match contre le Betis le week-end dernier, qui s’est soldé par un score nul et vierge.
Une fois de plus, l’ancien joueur de Flamengo a manqué à l’appel et n’a absolument rien apporté sur le terrain. Il a fait un nouveau “show”, protestant avec véhémence auprès de l’arbitre, qui était Soto Grado, et l’a même agrippé. Ce qui a obligé Dani Ceballos à intervenir et à venir à la rescousse du “20”, en essayant d’éteindre l’incendie et d’éviter que l’épisode ne s’aggrave. Il en a profité pour reprocher à l’ailier de 22 ans son comportement.
“Encore, encore, encore ?” a répété le milieu de terrain à plusieurs reprises, montrant qu’il ne supporte pas un seul spectacle de plus de la part de “Vini”. De son côté, Antonio Rüdiger a exprimé son désaccord en levant les bras, face à la possibilité que l’attaquant madrilène reçoive un autre carton jaune, ce qui aurait conduit à une expulsion, étant donné qu’il avait déjà été averti auparavant. En d’autres termes, il aurait pu laisser son équipe en infériorité numérique.
Les deux joueurs étaient rejoints par un autre crack, qui ne voulait même pas regarder l’action, et il était clair qu’ils allaient passer le reste du match en infériorité numérique, et sur un terrain aussi compliqué que le Benito Villamarín.
Fede Valverde était lui aussi très proche de Vinicius, même s’il n’osait pas lever les yeux et se contentait d’essayer de l’éloigner de la zone dangereuse. Heureusement, ce n’était qu’une frayeur, mais il n’aura pas cette chance la prochaine fois.
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