Brésil : accusé de violence domestique, Antony connaît son verdict

Antony reçoit une très bonne nouvelle ! La police brésilienne abandonne les poursuites pour violence domestique à l’encontre du joueur de Manchester United. Les autorités ont conclu qu’il n’y avait pas assez de preuves contre l’attaquant.

C’est une victoire judiciaire importante pour Antony Matheus dos Santos. Il est désormais acquitté. Les autorités de São Paulo ont décidé d’abandonner la plainte pour violence domestique déposée par Gabriela Cavallin contre son ancien compagnon, Antony, selon des informations publiées mardi par le site brésilien G1.
La DJ a accusé l’ailier de 24 ans de l’avoir insultée, menacée et agressée physiquement il y a plus d’un an, ce qui a déclenché une enquête qui a conclu qu’il n’y avait pas assez de preuves pour engager une action concrète devant les tribunaux pour insulte, menace, acte et violence psychologique contre le joueur de Manchester United. Cette affaire a aussi coûté la mise à l’écart de l’équipe nationale du Brésil à l’ancien joueur de l’Ajax Amsterdam.

Les allégations contre Antony sont apparues pour la première fois en juin 2023, lorsque Gabriela a rendu publiques ses accusations contre son ex-petit ami. La DJ et sa défense ont confirmé aux journalistes qu’elle avait déposé un rapport de police le même mois contre le natif d’Osasco pour menaces et lésions corporelles dans le contexte de la violence domestique. Selon la victime, les faits ont été commis au Brésil le 20 mai de l’année dernière dans une copropriété de la zone Est. Le tribunal de São Paulo a accordé à la DJ une ordonnance de protection pour empêcher son ex-petit ami de l’approcher.

Un film montre Gabriela blessée aux doigts d’une main. La jeune femme accuse Antony de lui avoir lancé une tasse qui l’a coupée. Pour cette raison, elle a déclaré qu’elle ne pouvait plus travailler comme Disque Jokey.

Parallèlement, une autre enquête est menée par les autorités anglaises à Manchester, qui n’est pas encore finalisée, de sorte qu’il n’est pas exclu que l’attaquant doive répondre de ses actes devant la justice. Affaire à suivre.