Cristiano Ronaldo, l’une des légendes vivantes du football, a connu deux passages à Manchester United. Son nom est définitivement dans les annales du club. Cependant, un élément a toujours déplu au Portugais Une récente découverte révèle ainsi une facette méconnue de sa relation avec le club.
En 2003, Cristiano Ronaldo a fait son entrée remarquée à Manchester United. Il y marque 84 buts et laisse une empreinte indélébile dans l’histoire du club. Son retour tant attendu en 2021 a été accueilli avec enthousiasme. Cependant, un épisode turbulent a marqué cette deuxième étape, mettant en lumière une frustration profonde chez le joueur.
Malgré un début prometteur à Old Trafford, une interview explosive avec Piers Morgan a changé la donne. Ronaldo critiqua sévèrement l’entraîneur Erik ten Hag. Cela lui valut une amende importante et sa libération du club. À cette époque, tout le monde pensait que le manager néerlandais était le pire ennemi de Ronaldo dans son club de cœur. Cependant, ce n’était pas seulement l’entraîneur qui poussait Ronaldo vers la sortie.
Cristiano Ronaldo a toujours détesté la météo de Manchester
Selon The Athletic, Cristiano Ronaldo détestait la météo de Manchester lors de ses deux passages au club. Le rapport souligne que le Portugais n’a jamais apprécié le climat anglais, un facteur qui aurait eu un impact sur son bien-être général, surtout lors de son second passage. Cette révélation offre un éclairage nouveau sur les raisons de son départ de Manchester United. Erik ten Hag n’était visiblement pas la seule raison.
Après son départ de Manchester United, Ronaldo a choisi de relancer sa carrière dans la Saudi Pro League, à Al Nassr. Le rapport suggère que le soleil de Riyad a eu un impact positif sur le bonheur du joueur. Cela se reflète dans ses performances impressionnantes avec 20 buts et neuf passes décisives en 17 apparitions cette saison. Par ailleurs, l’attaquant portugais finit l’année 2023 en était meilleur buteur du monde, tout championnat confondu. À 38 ans, c’est tout simplement stratosphérique.